Note d'Intention

Par Jérémy Lavalade, Producteur & Co-Réalisateur

Tout a commencé il y a près de 40 ans, avant même ma naissance.
Ma mère n’avait pas 20 ans et se prédestinait à être réalisatrice de cinéma. L’ordinateur n’existait pas encore. Elle tenait un carnet manuscrit dans lequel elle notait des idées de films. Acceptée en école de cinéma, à son grand regret, la vie ne lui a pas permis de suivre cette formation dont elle rêvait tant.
En 2017, au détour d’une discussion, elle m’a fait lire ce carnet. L’une de ses premières idées m’a vraiment interpellé ! Il me fallait absolument continuer ce qu’elle-même n’avait pas pu mener à bien : réaliser un film sur la base de son idée.

ESPRIT CRITIQUE

L’esprit critique était l’ancrage de son histoire.
J’y suis moi-même tellement attaché.
Étudiant à l’ESSEC Business School, j’ai choisi mon école pour sa Raison d’Être “Enlighten. Lead. Change” (Éclairer. Impulser. Transformer) et pour la place prédominante donnée à cet esprit critique.
Mon projet s’inscrit pleinement sur l’un des piliers fondamentaux de l’ESSEC :
“Face aux transformations économiques, sociales et environnementales qui n'ont jamais été aussi rapides et aussi profondes, de nouvelles formes de leadership doivent émerger”.

Dans un monde qui manque parfois de cohérence environnementale, j’ai pris conscience, notamment à travers mes cours de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), de l’impact de nos décisions en tant que futurs managers, entrepreneurs, sur le processus de transition.
En tant qu'acteurs du changement, il est crucial de concentrer notre énergie vers des initiatives bénéfiques plutôt que de succomber à des pratiques de greenwashing, qui, bien que séduisantes en surface, n'offrent qu'une embellie trompeuse sans réel impact positif. Toutefois, les enjeux vont bien au-delà de nos seules décisions.
Notre rôle est aussi de convaincre chacun, quel que soit son rôle dans la société, de l'importance de conserver un esprit critique en alerte. Cela est crucial pour dissocier les actions réellement bénéfiques pour l'environnement de celles qui sont dénuées de sens et pour assurer l’efficacité de notre transition environnementale.

ENVIRONNEMENT

UN FILM À SUSPENSE POUR L’HARMONIE DU DOUTE

Pour sensibiliser le grand public à cette responsabilité individuelle, le film à suspense s’est imposé à moi comme vecteur de communication.
La récente montée des eaux qui a recouvert la planète d’un immense océan, n’a épargné qu’une île : La Pointe Rose.
Le point de départ de l’intrigue place le spectateur dans ce monde post-apocalyptique, un monde à présent idéal, respectueux de l’environnement, un monde apaisé et attirant.
Le spectateur se laissera emporter par la douceur de vivre, le plaisir intense de cette harmonie.

En dépit de ce qu’il voit, cette harmonie si parfaite va progressivement susciter chez le spectateur des intuitions indéfinissables qui iront jusqu’à le conduire à la frontière entre doutes et certitudes. Toutefois, il va rejeter ces doutes. Le mode de vie sur cette île répond tellement à ses aspirations les plus profondes…
Il n’est pas le seul à douter. Simultanément, Tana, journaliste reconnue sur La Pointe Rose, commence à s’interroger le jour où elle découvre un mystérieux journal. Mais, contrairement au spectateur, Tana se met, elle, à ressentir une force invisible qui semble la menacer.
Tana hésite mais au fond d’elle-même, elle refuse de se soumettre au « non-penser ». Elle veut comprendre.
L’illusion d’une Tana, comme dévorée par la folie et menaçant jusqu’à l’équilibre de l’île, va s'intensifier au-fur-et-à-mesure de l'intrigue.
L’utopie se transformera progressivement en dystopie : Pour défendre les valeurs fondamentales prônées sur l’île, Tana décidera, quel qu’en soit le prix pour elle, d’être le révélateur indirect d’un système qui n’est pas aussi harmonieux qu’il n’y paraît.

ESPRIT CRITIQUE

L’esprit critique était l’ancrage de son histoire.
J’y suis moi-même tellement attaché.
Étudiant à l’ESSEC Business School, j’ai choisi mon école pour sa Raison d’Être “Enlighten. Lead. Change” (Éclairer. Impulser. Transformer) et pour la place prédominante donnée à cet esprit critique.
Mon projet s’inscrit pleinement sur l’un des piliers fondamentaux de l’ESSEC :
“Face aux transformations économiques, sociales et environnementales qui n'ont jamais été aussi rapides et aussi profondes, de nouvelles formes de leadership doivent émerger”.

ENVIRONNEMENT

Dans un monde qui manque parfois de cohérence environnementale, j’ai pris conscience, notamment à travers mes cours de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), de l’impact de nos décisions en tant que futurs managers, entrepreneurs, sur le processus de transition.
En tant qu'acteurs du changement, il est crucial de concentrer notre énergie vers des initiatives bénéfiques plutôt que de succomber à des pratiques de greenwashing, qui, bien que séduisantes en surface, n'offrent qu'une embellie trompeuse sans réel impact positif. Toutefois, les enjeux vont bien au-delà de nos seules décisions.
Notre rôle est aussi de convaincre chacun, quel que soit son rôle dans la société, de l'importance de conserver un esprit critique en alerte. Cela est crucial pour dissocier les actions réellement bénéfiques pour l'environnement de celles qui sont dénuées de sens et pour assurer l’efficacité de notre transition environnementale.

UN FILM À SUSPENSE POUR L’HARMONIE DU DOUTE

Pour sensibiliser le grand public à cette responsabilité individuelle, le film à suspense s’est imposé à moi comme vecteur de communication.
La récente montée des eaux qui a recouvert la planète d’un immense océan, n’a épargné qu’une île : La Pointe Rose.
Le point de départ de l’intrigue place le spectateur dans ce monde post-apocalyptique, un monde à présent idéal, respectueux de l’environnement, un monde apaisé et attirant.
Le spectateur se laissera emporter par la douceur de vivre, le plaisir intense de cette harmonie.

En dépit de ce qu’il voit, cette harmonie si parfaite va progressivement susciter chez le spectateur des intuitions indéfinissables qui iront jusqu’à le conduire à la frontière entre doutes et certitudes. Toutefois, il va rejeter ces doutes. Le mode de vie sur cette île répond tellement à ses aspirations les plus profondes…
Il n’est pas le seul à douter. Simultanément, Tana, journaliste reconnue sur La Pointe Rose, commence à s’interroger le jour où elle découvre un mystérieux journal. Mais, contrairement au spectateur, Tana se met, elle, à ressentir une force invisible qui semble la menacer.
Tana hésite mais au fond d’elle-même, elle refuse de se soumettre au « non-penser ». Elle veut comprendre.
L’illusion d’une Tana, comme dévorée par la folie et menaçant jusqu’à l’équilibre de l’île, va s'intensifier au-fur-et-à-mesure de l'intrigue.
L’utopie se transformera progressivement en dystopie : Pour défendre les valeurs fondamentales prônées sur l’île, Tana décidera, quel qu’en soit le prix pour elle, d’être le révélateur indirect d’un système qui n’est pas aussi harmonieux qu’il n’y paraît.

Jean Cocteau disait : “L'harmonie, c'est la conciliation des contraires, et pas l'écrasement des différences”.
A travers cette recherche d’équilibre entre harmonie et doute, esprit critique et passivité, humains et environnement, nous voulons finalement faire ressentir ce plaisir de l’audace et de la remise en question, ce plaisir de prendre part activement, à son niveau, à l’évolution durable de la société…

Jérémy Lavalade

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